Documents de la Société archéologique de Namur

1 media

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Cote/Cotes extrêmes

201625

Localisation physique

Magasin des journaux.

Modalités d'entrées

En 1999, une convention a été signée entre la Région wallonne et la Société archéologique de Namur selon laquelle cette dernière mettait en dépôt sa collection de presse namuroise au Centre des Archives de la Région wallonne. Avec ces journaux, sont arrivés près de 600 documents, essentiellement imprimés, ayant appartenu, entre autres, à Jules Borgnet [1] . Les papiers de ce dernier ont, sans doute, été acquis, en 1873, par la dite société archéologique, avec la bibliothèque de son fondateur.

Notes

Pour des renseignements sur la vie et l'œuvre de Jules Borgnet (Namur, 16 novembre 1817-Namur, 22 octobre 1872), voir l'article qu'Adolphe Siret lui a consacré aux pages 125 à 150 du tome 12 des Annales de la Société archéologique de Namur (A.S.A.N.) ainsi que les notices publiées par D. Brouwers dans la Biographie nationale (t. XXIX, 1956-1957, pp. 321-324) et par M. D. Van Overstraeten dans le Dictionnaire biographique namurois (in Le Guetteur wallon, n°s 3-4, Namur, 1999, pp. 43 et 44). On consultera également avec profit l'ouvrage de M.-L. BOUVY COUPERY DE SAINT-GEORGES-NEYS intitulé Les Borgnet, ces Mosans. Évolution sociale d'une famille (Bruxelles, [1999], pp. 104-111).

Sur l'acquisition de la bibliothèque de Jules Borgnet, voir Mélange, in A.S.A.N., t. 12, Namur, 1874, p. 514 et C. SORGELOOS, Dons et legs de livres aux bibliothèques namuroises: les activités patrimoniales de la Société archéologique de Namur, in Image et imagination. Recueil d'articles offert à André Vanrie à l'occasion de son septantième anniversaire, Archives et bibliothèques de Belgique, n°91, t. 2, Bruxelles, 2010, pp. 627 et 628.

Cote/Cotes extrêmes

201625/1

Cote/Cotes extrêmes

1

Date

1830-1892.

Cote/Cotes extrêmes

1.5

Date

28 octobre 1845.

Mots clés lieux

Lettre des électeurs de la deuxième section demandant à Henri Douxchamps de s'expliquer sur les dépenses jugées excessives réalisées pour la fête communale de 1837. Sans explication satisfaisante, ils voteront pour Jules Darrigade, François-Joseph Beckers et Héliodore-Antoine Bauchau-Maurissens.

Cote/Cotes extrêmes

1.5.4

Notes

François-Joseph Beckers (1791-Namur, octobre 1875) est juge de paix, président de la Commission administrative des prisons et chevalier de l'Ordre de Léopold. Il épouse Constance Kegeljan (1797-Namur, décembre 1860). Il décède place de la Station. L'Ami de l'Ordre, 22e année, n° 345, 10 décembre 1860, p. 3; n° 351, 16 décembre 1860, p. 33; - 37e année, n° 300, 28 octobre 1875, p. 3; n° 302, 31 octobre 1875, p. 2.

Héliodore-Antoine Bauchau dit Bauchau-Maurissens (Namur, 25 novembre 1796 ou 18 septembre 1797-Namur, 10 janvier 1868) exerce successivement les métiers de marchand tanneur (1825), de maître batteur de cuivre (1834-1841), de maître d'usine (1840) et d'industriel (1854). De 1855 à 1858, il devient commissaire de la S.A. métallurgique des Sarts-de-Seilles. En 1830, il est nommé 1er lieutenant puis, de 1832 à 1833, conseiller cantonal de la Garde communale de Namur. De 1855 à 1858, dans cette même ville, il occupe un siège de conseiller communal pour le parti catholique. Il est également membre de la Chambre de commerce de Namur, président du Conseil de Fabrique de l'église Saint-Nicolas de Namur et chevalier de l'ordre de Léopold. Il épouse Ferdinande-Th.-M.-J. Maurissens (Namur, 26 décembre 1801-19 mai 1873). Il décède rue Saint-Nicolas. L'Ami de l'Ordre, 30e année, n° 11, 11 janvier 1868, p. 3; n° 16, 16 janvier 1868, p. 3; n° 22, 22 janvier 1868, p.3. - H. DOUXCHAMPS, La famille Bauchau, t. 2, Bruxelles, 2003, pp. 693-705.